Avant le départ

Avant de participer à ce voyage nous nous sommes interrogés sur nos motivations, nos connaissances et ce que nous voulions transmettre à notre retour.

Kyra :

"Rendre hommage à ces millions de détenus et de victimes, tenter de percevoir ce qu'ils ont pu ressentir est pour moi primordial. Il faut transmettre et veiller à ce que cette période si sombre ne soit pas oubliée. Nous allons visiter le plus grand cimetière du monde. Cette histoire, on pourra la raconter à nos enfants qui la raconteront à leurs enfants."

Stella :

"Lorsque je serai là-bas je ne risquerai pas les travaux forcés, ma famille sera au chaud et en sécurité, ma vie ne sera pas menacée. Nous devons être conscients de cela pour tenter de mieux comprendre et de mieux ressentir l'importance du devoir de mémoire".

Lisa :

"Nous devons en savoir le plus possible afin de rendre hommage aux victimes mais aussi pour ouvrir les yeux de la société. Les discriminations commencent par les insultes, le rejet, puis viennent les lois qui les autorisent. La porte est alors ouverte pour le pire."

Johan :

"Le plus terrible c'est que nous allons pouvoir constater concrètement qu'un génocide est le fruit d'une organisation minutieuse, méthodique. Il est horrible de constater que des Hommes aient pu vouloir faire ça à d'autres Hommes. Après ce voyage je raconterai ce que j'ai vu et ressenti à ma famille et mes amis".

Laure :

"Je ne savais pas grand chose de la Shoah. J'avais entendu parler des chambres à gaz mais je n'aurais jamais imaginé qu'elles avaient causé tant de morts. Désormais je sais. Je sais que des nourrissons aux personnes âgées, tous sont visés dans le cadre d'un génocide.

C'est avec une grande émotion que j'emprunterai le même chemin qu'ont emprunté tant d'innocents conduits vers une mort certaine."

Emma :

"La fausse idée selon laquelle il existerait un "homme parfait" a fait des dégâts absolument irréparables. C'est un devoir de continuer à honorer ceux qui ont péri à cause des mensonges des nazis."

Mathis :

"J'ai notamment remarqué que les nazis allemands n'étaient pas les seuls à vouloir exterminer les Juifs, les Tziganes, les malades mentaux. La haine existait déjà dans tous les pays d'Europe."

Thibo :

"Ressentir le froid, mesurer les distances, la hauteur des barbelés tout cela me permettra de raconter ce qu'est Auschwitz à mes proches et à ceux qui ne s'y sont pas rendus."

Erino :

"Tout commence par des mots. La violence est d'abord dans Mein Kampf avant de devenir concrète et physique.

A Auschwitz, tout le monde a perdu quelque chose. Les déportés ont perdu leurs proches, souvent leur vie. Mais l'humanité toute entière a perdu une partie de ce qui la distingue de l'animal.

Ces bâtiments auraient pu être effacés, mais notre devoir est justement de ne pas oublier, de montrer par notre présence sur place que la vie triomphe sur la mort."

Lenna :

"Le mal qui a été causé ne peut être guéri cependant, en sensibilisant les nouvelles générations on peut éviter que cela ne recommence. Chacun doit connaître ce passage tragique de l'histoire du monde."

Alexandre :

"Auschwitz, lieu d'effroi et de terreur incomparable".

Oscar:

"Ce voyage fait partie d'un devoir de transmission que l'on nous a confié. Plus tard, je pourrai dire, je l'ai vu, j'y ai été et je suis heureux de ne pas l'avoir vécu."

Avant le départ

Kyra :

Stella :

"Lorsque je serai là-bas je ne risquerai pas les travaux forcés, ma famille sera au chaud et en sécurité, ma vie ne sera pas menacée. Nous devons être conscients de cela pour tenter de mieux comprendre et de mieux ressentir l'importance du devoir de mémoire".

Lisa :

"Nous devons en savoir le plus possible afin de rendre hommage aux victimes mais aussi pour ouvrir les yeux de la société. Les discriminations commencent par les insultes, le rejet, puis viennent les lois qui les autorisent. La porte est alors ouverte pour le pire."

Johan :

Laure :

"Je ne savais pas grand chose de la Shoah. J'avais entendu parler des chambres à gaz mais je n'aurais jamais imaginé qu'elles avaient causé tant de morts. Désormais je sais. Je sais que des nourrissons aux personnes âgées, tous sont visés dans le cadre d'un génocide.

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C'est avec une grande émotion que j'emprunterai le même chemin qu'ont emprunté tant d'innocents conduits vers une mort certaine."

Emma :

"La fausse idée selon laquelle il existerait un "homme parfait" a fait des dégâts absolument irréparables. C'est un devoir de continuer à honorer ceux qui ont péri à cause des mensonges des nazis."

Mathis :

"J'ai notamment remarqué que les nazis allemands n'étaient pas les seuls à vouloir exterminer les Juifs, les Tziganes, les malades mentaux. La haine existait déjà dans tous les pays d'Europe."

Thibo :

"Ressentir le froid, mesurer les distances, la hauteur des barbelés tout cela me permettra de raconter ce qu'est Auschwitz à mes proches et à ceux qui ne s'y sont pas rendus."

Erino :

"Tout commence par des mots. La violence est d'abord dans Mein Kampf avant de devenir concrète et physique.

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A Auschwitz, tout le monde a perdu quelque chose. Les déportés ont perdu leurs proches, souvent leur vie. Mais l'humanité toute entière a perdu une partie de ce qui la distingue de l'animal.

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Ces bâtiments auraient pu être effacés, mais notre devoir est justement de ne pas oublier, de montrer par notre présence sur place que la vie triomphe sur la mort."

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Lenna :

"Le mal qui a été causé ne peut être guéri cependant, en sensibilisant les nouvelles générations on peut éviter que cela ne recommence. Chacun doit connaître ce passage tragique de l'histoire du monde."

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Alexandre :

"Auschwitz, lieu d'effroi et de terreur incomparable".

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Oscar:

"Ce voyage fait partie d'un devoir de transmission que l'on nous a confié. Plus tard, je pourrai dire, je l'ai vu, j'y ai été et je suis heureux de ne pas l'avoir vécu."

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